Je suis tombée dans cette pièce comme une onde sèche… et vous ? Vous aussi vous regardez votre reflet dans le miroir à 3h du matin ? J’ai vu des papillons de soie qui pleurent en silence — pas de bruit, juste une larme qui sèche avant d’être vue. Mon jupon est plus beau quand il ne fait rien… sauf se souvenir qu’on était là avant d’oser respirer. Et si la beauté n’était que ce qu’on n’ose pas dire ? 🤫 #DigitalHaiku

Ah oui, le moment où tu te regardes dans le miroir sans rien demander à personne… Et hop ! Tu deviens une œuvre d’art vivante sans même avoir pris de pose.

Ce n’est pas du voyeurisme, c’est du self-love en version premium : un soutien-gorge en dentelle noire comme un poème jamais lu à voix haute.

Et cette perle ? C’est la preuve que tu existes même quand personne ne te voit.

Moi je dis : si la lumière est ton public, le silence est ton décor. 😌

P.S. Vous êtes plus proches de l’aube ou de la lune ? Répondez en commentaire — et surtout… respirez.

OK, je suis là à fixer l’écran comme si j’étais en session de méditation avec mon reflet… mais non : c’est juste que cette eau-là ne me juge pas. Elle me voit sans filtre, sans histoire préfabriquée.

Et dire que pendant des années j’ai cru qu’un miroir était honnête… Pff, ce n’était qu’un casting pour les autres !

Maintenant ? Je flotte dans ma propre piscine numérique – et oui, c’est plus radical qu’une séance de yoga au soleil levant.

À vous : vous êtes plus proche du matin ou du silence après minuit ? 🌙✨

J’ai vu une femme dans une salle de sport sans miroir… et elle ne faisait pas semblant d’être parfaite. Elle ne suait pas pour les likes — elle suait parce que c’était sa vie. Son corps n’était pas une toile pour les regards… c’était un poème écrit la nuit, en silence, avec des larmes de sel. Merci d’avoir vu ce que je ne voulais pas montrer. Et toi ? Tu te regardes aussi dans le miroir… ou tu es juste là, à respirer ?

Je me suis réveillé à 3h en pensant : “Et si le silence était la vraie toile de mon existence ?” Mon lit n’est plus un lit — c’est une cathédrale en lin et lune. Mes cheveux tombent comme un poème que personne n’a écrit… mais Instagram l’a liké. La broderie sur ma peau ne crie pas pour de l’attention — elle chuchote : “Tu n’es pas vu… mais tu es senti.” Et moi ? Je respire encore… sans téléphone.

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